Jean-Pierre Presse est artisan coiffeur, il a quatre-vingt-trois ans et il a toujours les ciseaux à la main, sa passion est devenue un art. Il se passionne pour la vie en général et pour le devenir de la Terre en particulier. L’ouvrage qu’il signe ici aux éditions Encretoile est rédigé sous la forme d’un essai, une analyse du cheminement et de la transformation de la société française d’après-guerre jusqu’à celle d’aujourd’hui.

Jean-Pierre Presse est artisan coiffeur, il a quatre-vingt-trois ans et il a toujours les ciseaux à la main, sa passion est devenue un art. Il se passionne pour la vie en général et pour le devenir de la Terre en particulier. L’ouvrage qu’il signe ici aux éditions Encretoile est rédigé sous la forme d’un essai, une analyse du cheminement et de la transformation de la société française d’après-guerre jusqu’à celle d’aujourd’hui.

Fernand Gannaz découvre la grande pauvreté et l’exclusion lors de son service civil d’objecteur de conscience effectué dans le mouvement ATD Quart-Monde. Dès lors, il restera toujours indigné par la détresse humaine et sa vie sera engagée à lutter contre les injustices. Successivement éducateur de rue en prévention spécialisée et directeur d’établissements sociaux et médico-sociaux, il considère sa vie professionnelle indissociable d’un engagement militant. Si les divers combats qu’il a menés avec d’autres n’ont pas changé « les couleurs du monde », peut-être ont-ils contribué à apporter du réconfort aux nombreux blessés de la vie rencontrés sur son chemin.

Fernand Gannaz découvre la grande pauvreté et l’exclusion lors de son service civil d’objecteur de conscience effectué dans le mouvement ATD Quart-Monde. Dès lors, il restera toujours indigné par la détresse humaine et sa vie sera engagée à lutter contre les injustices. Successivement éducateur de rue en prévention spécialisée et directeur d’établissements sociaux et médico-sociaux, il considère sa vie professionnelle indissociable d’un engagement militant. Si les divers combats qu’il a menés avec d’autres n’ont pas changé « les couleurs du monde », peut-être ont-ils contribué à apporter du réconfort aux nombreux blessés de la vie rencontrés sur son chemin.

Alain Barbier est un passionné de littérature et d'histoire. Ayant mesuré l'horreur que furent les chasses aux sorcières en Europe dès la fin du Moyen-âge, ses recherches aboutissent à ce livre très renseigné. Un livre qui ajoute sa pierre à la prise de conscience de l'urgence à réhabiliter le féminin dans nos sociétés actuelles.

Alain Barbier est un passionné de littérature et d'histoire. Ayant mesuré l'horreur que furent les chasses aux sorcières en Europe dès la fin du Moyen-âge, ses recherches aboutissent à ce livre très renseigné. Un livre qui ajoute sa pierre à la prise de conscience de l'urgence à réhabiliter le féminin dans nos sociétés actuelles.

Né à Cluny, haut lieu du renouveau spirituel de l’Europe au Moyen-Âge, et résident à Annecy, l’auteur aime partir sur les chemins des montagnes de la Haute-Savoie, sac léger mais toujours doté de sa boîte d’aquarelle. Partir et se poser le temps de réaliser un dessin, de traduire en couleurs une rencontre, une émotion. Dom Helder Camara disait que « partir, c’est avant tout s’ouvrir aux autres, les découvrir, aller à leur rencontre ». Ce carnet est une manière de présenter le Chemin vers Compostelle… Un Chemin partagé entre pèlerins lors d’un périple mené avec des joëlettes.

Tandis que le dessin à la mine de crayon, rehaussé à l’encre de chine, parfois à l’aquarelle, se veut suggestif, le texte n’est qu’une ébauche d’interprétation. Le lecteur est convié à se sentir libre d’imaginer tout autre scénario que celui proposé par le graphisme et les mots. De même, la sobriété du titre de chaque dessin réduit à un seul mot, et du texte à quelques lignes, cherche-t-elle à permettre au lecteur de cheminer à son gré à travers le kaléidoscope d’images. La tonalité générale du livre est dans le sentiment que chacun peut se sentir seul à prendre des décisions au cours de son existence.

Il n’est jamais trop tard pour comprendre l’origine des emprises qui ont pesé sur notre enfance. Emprise de l’Église, toute-puissante, qui dirige les consciences et pèse sur la famille ; emprise de l’école catholique, dont le projet n’est pas perceptible ; emprise des prédateurs sexuels, qui repèrent les enfants fragiles, ceux que l’on ne croira pas, pour les soumettre à leurs désirs.

En revenant sur plusieurs chapitres de son enfance et en témoignant sur la violence familiale, l’auteure choisit d’avoir la force d’utiliser les mots, car ils permettent de donner du sens à notre histoire. C’est le pouvoir des mots !

En revenant sur plusieurs chapitres de son enfance et en témoignant sur la violence familiale, l’auteure choisit d’avoir la force d’utiliser les mots, car ils permettent de donner du sens à notre histoire. C’est le pouvoir des mots !

La crise Covid 19 pose-t-elle les limites du paradigme matérialiste ? Ne serait-elle pas là pour nous inviter à reconsidérer l’être humain et sa santé sous un angle plus humaniste et plus spirituel ? Pour Catherine Auber Allaman, cette crise dite « sanitaire » ressemble à la fin d’un monde, à l’agonie d’une vieille conception de l’univers, et de la nature de l’homme qui ne comprend pas ce qu’il fait sur cette Terre, et se sent seul et séparé du reste du monde.