Olivier Tabert signe son quatrième roman aux éditions Encretoile. Il aborde ici, sous la forme d’un thriller, l’enfance et la vie d’adulte d’Aymée, femme inquiétante et étrange, qui s’est donnée pour mission d’éradiquer la beauté féminine. Si cet ouvrage est parfois cru et violent, la présence des autres personnages apporte un peu de chaleur, un humour et une dimension sociale si chers au Québec où se déroule cette histoire surprenante.

Olivier Tabert signe son quatrième roman aux éditions Encretoile. Il aborde ici, sous la forme d’un thriller, l’enfance et la vie d’adulte d’Aymée, femme inquiétante et étrange, qui s’est donnée pour mission d’éradiquer la beauté féminine. Si cet ouvrage est parfois cru et violent, la présence des autres personnages apporte un peu de chaleur, un humour et une dimension sociale si chers au Québec où se déroule cette histoire surprenante.

Nous nous mettons tous des barrières. Nos représentations limitent notre perception des choses. À présent, je pense que le cœur a autant d’importance que la raison. Nous avons tous une mission de vie et nous devons trouver les moyens de l’accomplir. Nous devons nous reconnecter à la nature, à des savoirs ancestraux. La période que nous traversons est sans doute propice à un meilleur épanouissement de chacun, moins basé sur du matériel et plus sur du spirituel. (J. M.-M.)

Nous nous mettons tous des barrières. Nos représentations limitent notre perception des choses. À présent, je pense que le cœur a autant d’importance que la raison. Nous avons tous une mission de vie et nous devons trouver les moyens de l’accomplir. Nous devons nous reconnecter à la nature, à des savoirs ancestraux. La période que nous traversons est sans doute propice à un meilleur épanouissement de chacun, moins basé sur du matériel et plus sur du spirituel. (J. M.-M.)

Avec ces six récits : trois brefs et trois longs, l’auteur revient sur des thèmes évoqués dans  Solitudes partagées.  Ici,  il  ne s’agit plus de contes ; plutôt de diverses façons de raconter  des  histoires  actuelles  qui posent des questions éternelles, entre autres celle qui hante la littérature sous toutes ses formes : « N’y a-t-il de véritable amour qu’impossible ? » Mais sans lire entre les lignes, on peut simplement sympathiser avec des personnages qui seront vite familiers aux fidèles lecteurs de cet auteur que les éditions Encretoile publient pour la dixième fois.

Avec ces six récits : trois brefs et trois longs, l’auteur revient sur des thèmes évoqués dans  Solitudes partagées.  Ici,  il  ne s’agit plus de contes ; plutôt de diverses façons de raconter  des  histoires  actuelles  qui posent des questions éternelles, entre autres celle qui hante la littérature sous toutes ses formes : « N’y a-t-il de véritable amour qu’impossible ? » Mais sans lire entre les lignes, on peut simplement sympathiser avec des personnages qui seront vite familiers aux fidèles lecteurs de cet auteur que les éditions Encretoile publient pour la dixième fois.

Ah, la famille ! Faut-il la chérir, la bannir ou la haïr ? Difficile à dire. J’ai toujours eu beaucoup de mal à composer. Comment la considérer, si ce n’est comme la juxtaposition de personnages, tour à tour attirants, intrigants voire fascinants, alors que vous ne les avez jamais connus ! D’autres par contre, resteront à vos yeux écœurants de les avoir trop côtoyés, très certainement. Et au milieu de cette belle cacophonie, il faut trouver sa place... Mais y arrive-t-on réellement ?

Ah, la famille ! Faut-il la chérir, la bannir ou la haïr ? Difficile à dire. J’ai toujours eu beaucoup de mal à composer. Comment la considérer, si ce n’est comme la juxtaposition de personnages, tour à tour attirants, intrigants voire fascinants, alors que vous ne les avez jamais connus ! D’autres par contre, resteront à vos yeux écœurants de les avoir trop côtoyés, très certainement. Et au milieu de cette belle cacophonie, il faut trouver sa place... Mais y arrive-t-on réellement ?

Sculpteur de musique et de mots, Jean-Paul Prat donne à son œuvre, tant musicale que littéraire, une contenance spirituelle aux dimensions du Ciel et du monde mêlés. Rythmicien, mélodiste, Jean-Paul Prat, diacre et artisan fondateur du groupe Masal, fondateur des Apôtres de la Paix, est un compositeur libre qui propose, depuis toujours, de suivre avec  lui  un chemin  nouveau  ouvert  sur des  possibilités musicales au-delà des tonalités connues. Son écriture laisse couler les phrases, naturellement, et nous donne accès à cette part de notre humanité qui parfois nous échappe.

Sculpteur de musique et de mots, Jean-Paul Prat donne à son œuvre, tant musicale que littéraire, une contenance spirituelle aux dimensions du Ciel et du monde mêlés. Rythmicien, mélodiste, Jean-Paul Prat, diacre et artisan fondateur du groupe Masal, fondateur des Apôtres de la Paix, est un compositeur libre qui propose, depuis toujours, de suivre avec  lui  un chemin  nouveau  ouvert  sur des  possibilités musicales au-delà des tonalités connues. Son écriture laisse couler les phrases, naturellement, et nous donne accès à cette part de notre humanité qui parfois nous échappe.

Cher Jean, Cela fait des mois que j’attends ce moment : t’écrire une lettre, une longue lettre où je te raconterais tout ce qui s’est passé depuis notre rencontre, ce que tu sais peut-être déjà mais aussi ce que tu ignores, tout ce que j’ai tellement envie de partager avec toi et surtout ce que ton amour a su transformer chez moi. Alors bien sûr, il va falloir remonter le temps…

Cher Jean, Cela fait des mois que j’attends ce moment : t’écrire une lettre, une longue lettre où je te raconterais tout ce qui s’est passé depuis notre rencontre, ce que tu sais peut-être déjà mais aussi ce que tu ignores, tout ce que j’ai tellement envie de partager avec toi et surtout ce que ton amour a su transformer chez moi. Alors bien sûr, il va falloir remonter le temps…