S’agissant des Écritures bibliques, on parle communément de deux Testaments. Deux véritables piliers qui partagent les Écritures entre un « avant » et un « après ». Philippe Jarry ne voit guère de testaments dans tous ces livres, mais bien plutôt de magnifiques témoignages. l’Ancien et le Nouveau. Ce sont deux Témoignages vibrants, laissés par des hommes et des femmes qui défient le temps, et qui nous disent ce que fut leur recherche de Dieu. Une quête pleine d’inspiration pour aujourd’hui, pour peu que l’on soit prêt à reconnaître le travail qui s’est ainsi accompli au fil des siècles.
L’auteur nous invite à une conversation Sous l’arbre de Judée, pour feuilleter les Écritures avec lui.

Bonsoir Madame, l’intervention s’est bien déroulée mais votre mari a été transféré en réanimation suite à une complication. Intubé et ventilé, il a été placé dans un sommeil artificiel, je ne vous cache pas la gravité de la situation.
– Il est mort ?
– Il est dans un état grave de détresse respiratoire.
– Mais ce n’est pas possible, il m’a parlé tout à l’heure !
– Ne venez pas, il va être installé et cela peut prendre plusieurs heures. Je passerai le voir demain et vous rappellerai.
Je raccroche le combiné, me demandant ce que je dois penser. « Ai-je bien entendu ? Mon mari respire artificiellement avec une machine, il est entre la vie et la mort ? »
Je me dirige vers la porte d’entrée pour prendre l’air, l’atmosphère du salon est subitement devenue irrespirable.

Bonsoir Madame, l’intervention s’est bien déroulée mais votre mari a été transféré en réanimation suite à une complication. Intubé et ventilé, il a été placé dans un sommeil artificiel, je ne vous cache pas la gravité de la situation.
– Il est mort ?
– Il est dans un état grave de détresse respiratoire.
– Mais ce n’est pas possible, il m’a parlé tout à l’heure !
– Ne venez pas, il va être installé et cela peut prendre plusieurs heures. Je passerai le voir demain et vous rappellerai.
Je raccroche le combiné, me demandant ce que je dois penser. « Ai-je bien entendu ? Mon mari respire artificiellement avec une machine, il est entre la vie et la mort ? »
Je me dirige vers la porte d’entrée pour prendre l’air, l’atmosphère du salon est subitement devenue irrespirable.

Quoi de mieux que la presse paroissiale pour rejoindre ceux qui nous interpellent au cœur de nos communautés ou aux périphéries de celles-ci, en leur proposant les mots simples de la foi et du sens ? Il n’y a pas de doute, la presse paroissiale est en adéquation avec le projet missionnaire de l’Église… Sans jeu de mot : c’est plutôt une bonne nouvelle ! Par le simple fait qu’elle est une presse de proximité, écrite avec des mots humbles sur des pages sans prétention, la presse paroissiale participe ainsi à la nouvelle évangélisation. Les textes qui constituent l’ensemble de ce petit ouvrage sont des articles écrits entre 2009 et 2016 pour le compte de la page spirituelle des journaux paroissiaux de la Haute-Savoie.

Quoi de mieux que la presse paroissiale pour rejoindre ceux qui nous interpellent au cœur de nos communautés ou aux périphéries de celles-ci, en leur proposant les mots simples de la foi et du sens ? Il n’y a pas de doute, la presse paroissiale est en adéquation avec le projet missionnaire de l’Église… Sans jeu de mot : c’est plutôt une bonne nouvelle ! Par le simple fait qu’elle est une presse de proximité, écrite avec des mots humbles sur des pages sans prétention, la presse paroissiale participe ainsi à la nouvelle évangélisation. Les textes qui constituent l’ensemble de ce petit ouvrage sont des articles écrits entre 2009 et 2016 pour le compte de la page spirituelle des journaux paroissiaux de la Haute-Savoie.

Pourquoi donc veulent-ils une preuve du Divin ? Ils réclament ce qu’ils sont. Mon âme, paraît-il, a beaucoup voyagé. Je pense sincèrement que c’est pour cela que j’ai écrit cet ouvrage, ou en partie seulement, car il y a d’autres éléments d’existences qui, plantés comme des tuteurs, font la Certitude. Ce qui me désole le plus, c’est de voir certains passer à côté de tant de joies et de beautés. Ce qui me met en rogne, c’est le pouvoir de ces dominants cachés dans l’ombre et la main sur leur coffre rempli d’argent… Quelle sera leur réaction quand ils découvriront leur pauvreté ?

Pourquoi donc veulent-ils une preuve du Divin ? Ils réclament ce qu’ils sont. Mon âme, paraît-il, a beaucoup voyagé. Je pense sincèrement que c’est pour cela que j’ai écrit cet ouvrage, ou en partie seulement, car il y a d’autres éléments d’existences qui, plantés comme des tuteurs, font la Certitude. Ce qui me désole le plus, c’est de voir certains passer à côté de tant de joies et de beautés. Ce qui me met en rogne, c’est le pouvoir de ces dominants cachés dans l’ombre et la main sur leur coffre rempli d’argent… Quelle sera leur réaction quand ils découvriront leur pauvreté ?

Les récits collectés pour composer le présent ouvrage, proposent quelques réflexions simples, parfois provocantes, parfois subtiles. Librement écris, ils ne veulent rien imposer… Ils proposent simplement, ils respectent le lecteur dans le choix qu’il fera peut-être de retenir telle ou telle proposition ou nouvelle idée. Finalement, ces Propos d’occasion, outre le fait d’avoir « déjà servi » pour des conférences, des entretiens, des articles ou des moments de formation, pourront sans doute apporter un peu de nouveauté ! Une bonne occasion somme toute !

Les récits collectés pour composer le présent ouvrage, proposent quelques réflexions simples, parfois provocantes, parfois subtiles. Librement écris, ils ne veulent rien imposer… Ils proposent simplement, ils respectent le lecteur dans le choix qu’il fera peut-être de retenir telle ou telle proposition ou nouvelle idée. Finalement, ces Propos d’occasion, outre le fait d’avoir « déjà servi » pour des conférences, des entretiens, des articles ou des moments de formation, pourront sans doute apporter un peu de nouveauté ! Une bonne occasion somme toute !

Autour, c’était le silence troublé par moments par le chant mélancolique de quelques oiseaux attardés. Pour arriver au « Mas Traversier », ce nom avait été donné par les paysans d’autrefois à cause du vent de traverse Ardéchois, il fallait emprunter un chemin en mauvais état où les pierres continuaient leur croissance au fil des années. Ce chemin était bordé de châtaigniers prêts à crever faute de soin et d’attention. Les cerisiers étaient bien malades eux aussi, mais ils donnaient encore quelques bons bigarreaux dont se régalaient Pierre et Pauline. Le mois de juin relevait cette année de la sécheresse et la petite rivière semblait être à l’agonie.

Autour, c’était le silence troublé par moments par le chant mélancolique de quelques oiseaux attardés. Pour arriver au « Mas Traversier », ce nom avait été donné par les paysans d’autrefois à cause du vent de traverse Ardéchois, il fallait emprunter un chemin en mauvais état où les pierres continuaient leur croissance au fil des années. Ce chemin était bordé de châtaigniers prêts à crever faute de soin et d’attention. Les cerisiers étaient bien malades eux aussi, mais ils donnaient encore quelques bons bigarreaux dont se régalaient Pierre et Pauline. Le mois de juin relevait cette année de la sécheresse et la petite rivière semblait être à l’agonie.

La famille est le berceau de nos vies, le creuset de nos richesses. Plus elle est attaquée, plus nous avons à la défendre. L’auteur relève dans son ouvrage les atouts de nos familles et nous invite à poser sur elles un regard de reconnaissance et d’émerveillement. Face aux attaques qu’elles subissent, il nous exhorte à ne pas baisser les bras devant cette déferlante actuelle qui voudrait minimiser le rôle de la famille. Nous avons à mener un véritable combat, une lutte joyeuse et sereine qui donne sens à toute une vie. Sommes-nous prêts à regarder le bateau prendre l’eau, ou sommes-nous prêts à colmater la brèche et à solidifier la structure du navire ?