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L'arbre en moi de Didier...
Didier Lamy, ingénieur d’études en mécanique a toujours mis l’âme humaine au centre de ses préoccupations. Retiré des contingences opérationnelles après l’édition de « Vers Tiges » en 2019, un recueil de poèmes comme un voyage de 1970 à aujourd’hui, l’auteur pose ici un certain regard intérieur, observateur et interrogateur sur le monde qui l’entoure. En fin de recueil la mention de la pandémie de la covid-19 y est bien présente.
Youpi de Michel Labeaume...
« Jean-Claude Sangan a été poète observateur, voyageur sur les mers calmes de la camaraderie, de l’entente, de l’amitié profonde et luttant avec sa magie des mots contre le racisme. Tranquille, toujours souriant, toujours serein, et si de sa bouche sortait souvent le mot Youpi c’était pour souligner le contentement que tout aille bien ». (Michel Labeaume)
Femmes de l'Evangile de...
Sandrine Husson-Charlet pose les mots sur la feuille avec l’encre de son expérience et de sa vie de femme. Passionnée par le message de l’Évangile, par la proximité avec tous et auprès des personnes en souffrance, elle propose ici, un recueil de poèmes autour de la figure de quelques femmes de l’Évangile. Ces femmes deviennent tour à tour : amies, proches, modèles, humbles et exceptionnelles à la fois.
Mariage, chemins de...
L’auteure, mariée, divorcée civilement et mère de trois enfants, offre ces quelques lignes à la réflexion de tous. Une longue et douloureuse période a suivi l’épreuve de la séparation. Aujourd’hui, elle souhaite témoigner qu’elle ne regrette rien de l’engagement pris devant Dieu et devant les hommes. Pour le meilleur et pour le pire dit-on ce jour là, alors OUI ! dit-elle, j’ai choisi de rester fidèle malgré la séparation. Si elle fait ce choix, ce n’est pas par dolorisme, mais par respect pour l’amour qui demeure et par respect de l’engagement pris.
Celle que j’ai tant aimée...
Une rencontre inattendue dans une gare, et les voies du possible s’ouvrent. Un récit s’écrit et se donne… Le roman d’une vie s’éclaire alors devant nous. Un parcours se dessine, et les divers chemins qui le façonnent révèlent l’amour… simplement, sans détours.
Le carnet de Garance de...
« Parcourir notre vie ardemment, sans répit, avec obstination, avec élévation ».
Christian Artaud écrit simplement, avec justesse et patience. Il parcourt les phrases et s’accroche aux mots qui les façonnent, il s’arrête ci et là et invite le lecteur à redécouvrir le monde, par-delà les espaces. Il nous fait deviner la poésie, sa poésie, comme on s’avance sur un chemin de randonnée : avec patience et humilité.
L’escalier du jardin de...
Sur le moment, c’est une histoire de visite de condoléances, de moto et de vacances puis ça tourne à la confrontation entre le vécu et l’imaginaire d’un jeune citadin et de gens vivant dans une province qu’il croit plus éloignée dans le temps que dans l’espace. Enfin, ça se complique tellement sans qu’on y ait pris garde que cela devient la vie et qu’on ne sait plus ce qu’il faut raconter. Rétrospectivement l’histoire de moto est celle d’une amitié ; des vacances mal commencées déterminent un choix professionnel imprévu, quant à la confrontation des générations et des civilisations que l’on perçoit comme le détonateur potentiel d’une situation explosive, elle se révélera n’être rien de plus que le décor fortuit dans lequel se joue l’apprentissage de la vie de notre jeune héros.
L’escalier du jardin de...
Sur le moment, c’est une histoire de visite de condoléances, de moto et de vacances puis ça tourne à la confrontation entre le vécu et l’imaginaire d’un jeune citadin et de gens vivant dans une province qu’il croit plus éloignée dans le temps que dans l’espace. Enfin, ça se complique tellement sans qu’on y ait pris garde que cela devient la vie et qu’on ne sait plus ce qu’il faut raconter. Rétrospectivement l’histoire de moto est celle d’une amitié ; des vacances mal commencées déterminent un choix professionnel imprévu, quant à la confrontation des générations et des civilisations que l’on perçoit comme le détonateur potentiel d’une situation explosive, elle se révélera n’être rien de plus que le décor fortuit dans lequel se joue l’apprentissage de la vie de notre jeune héros.
Couleur d’un parfum de...
Marie-Chantal Étienne est poète, elle aime la couleur, le parfum et la lumière.
Angeline et les chats de...
Les aventures moyenâgeuses d’Angeline, une petite fille qui va, grâce à son amour des chats, et grâce aussi à ses propres failles, devenir une véritable héroïne en sauvant son village, La Romieu, sans arme et sans violence. Revisitant la légende d’Angeline, incarnée dans de magnifiques sculptures réalisées par Maurice Serreau, Michel Boillée a voulu donner davantage de chair au personnage d’Angeline, en en faisant une vraie petite fille souffrant de ne pas trouver sa place au village et dans sa famille. Plus tard adolescente, elle se bat pour ses amis les chats, et plus tard encore, elle devient une femme libre avant l’heure, maîtrisant l’art d’utiliser les plantes. Elle est alors une femme exceptionnelle, de celles que l’on traitait jadis de sorcières.
Le cavalier blanc de...
Il est vrai, Monsieur, qu’il n’y a que peu de choses qu’on ne puisse imaginer ; les deux les plus importantes sont l’infini et le néant. Ainsi, nous disait notre professeur, pourquoi craindre la mort puisque vous ne pouvez imaginer ni l’infini ni le néant ? Si vous croyez que la mort vous ouvre la voie vers l’infinie bonté de Dieu, il n’y a rien là de très effrayant. Et si vous pensez qu’elle vous précipitera dans le néant, pourquoi craindre ce que vous ne pouvez concevoir ? Vous souciez-vous de ce que vous étiez avant de naître, c’est-à-dire du néant dont vous êtes sorti ? Pourquoi craindre celui, sans doute le même, dans lequel vous retournerez ?
Bazar de Bernard Pignero
J’avais cru en m’embarquant à vingt ans que je me tiendrais naturellement à la proue, nez au vent, cherchant sans me lasser sur l’horizon toujours repoussé, des mirages d’îles, des promesses de terres inconnues plantées de fleurs éternelles et peuplées de sauvages nus et doux. Je croyais que naviguer consistait à explorer l’avenir entre les deux infinis de la terre et du ciel. J’ai vite trouvé ma place sur le pont arrière, tourné vers le passé que je fuis, à jamais attaché à la terre dont je m’éloigne. On ne sait jamais très bien d’où on vient. On devine un peu d’où on ne peut pas venir. De même, vers l’avant, on ne fait qu’éliminer les ailleurs impossibles.