Par le bonheur vécu de rencontres toutes assez exceptionnelles, toutes plus belles les unes que les autres, j’ai pu découvrir les pépites de l’histoire d’un bien beau club de football, l’US Faucigny. J’ai eu ainsi la chance de voir combien son histoire était étroitement mêlée à celle de l’US Cluses-Scionzier. Des histoires vraiment extraordinaires, toutes les deux. Elles disent quelque chose de l’histoire des hommes de la Vallée de l’Arve, elles expriment profondément quelque chose de leur personnalité, du plus gamin au plus ancien, de ce qu’ils furent, de ce qu’ils sont, de ce qu’ils nous laissent… Et de ce que nous voulons bien prendre.

L’histoire religieuse en vallée du Risse dans le nord de la Haute-Savoie est illustrée d’un courant missionnaire catholique très marqué au début du XXe siècle. Les missions paroissiales, vaillamment confiées aux capucins depuis longtemps, ont pendant cette période garanti la pérennité de la foi. De même, depuis deux siècles, la Société des Missions étrangères de Paris (MEP) œuvrait activement à l’évangélisation des terres d’Orient. On assistait à un véritable chassé-croisé de missionnaires allant et partant.

Comment ne pas percevoir comment notre monde actuel est en ébullition comme l’était celui de François de Sales ? Les nouvelles technologies de l’information, la mondialisation économique, le rapprochement des peuples à travers les modes de déplacement qui font de chaque nation un village planétaire, l’essor de l’informatique, des réseaux sociaux, l’écologie et le souci de notre environnement, l’interpénétration des peuples, des races et des religions, ouvrent des perspectives étonnantes sur notre avenir, dont on ne sait pas encore aujourd’hui mesurer les conséquences.

Avant Jésus, aucun philosophe, aucun penseur, aucun fondateur de religion, n’a parlé des enfants comme il l’a fait, et ne leur a accordé une aussi grande importance. Mais ses paroles sur les enfants sont restées en friche. Ni les disciples, ni les premiers théologiens, ni les membres influents de l’Église au cours de ses vingt siècles d’existence, n’en ont vraiment accepté le sens profond.

Avant Jésus, aucun philosophe, aucun penseur, aucun fondateur de religion, n’a parlé des enfants comme il l’a fait, et ne leur a accordé une aussi grande importance. Mais ses paroles sur les enfants sont restées en friche. Ni les disciples, ni les premiers théologiens, ni les membres influents de l’Église au cours de ses vingt siècles d’existence, n’en ont vraiment accepté le sens profond.

Ce qui gêne la quête du Jésus historique, c’est l’absence de données suffisantes, en dehors des évangiles, et l’omniprésence du surnaturel dans les récits évangéliques. Pour l’historien, le défaut de documents et le surnaturel sont deux obstacles majeurs ; mais ce dernier, en tombant, ouvre un champ documentaire nouveau et permet d’atteindre enfin le Jésus historique. Le titre du dernier ouvrage de Christian-B. Amphoux donne le ton. Il faut lever le voile. De plus en plus nombreux sont celles et ceux qui s’intéressent à des recherches nouvelles sur la vie de Jésus, des pistes qui abordent le personnage de l’histoire et non celui de l’histoire sainte. Christian-Bernard Amphoux aide à lever le voile.

Ils sont dix, cinq de l’Ancien Testament : Moïse, David, Elie, Jonas et Judith, et cinq du Nouveau : Joseph, Jean-Baptiste, Marie-Madeleine, Pierre et Jean. Ces figures incontournables remplies d’une foi confiante et d’une humilité exemplaire sont aussi des êtres qui nous interpellent par une audace qui se caractérise d’une manière particulière pour chacun d’eux. À travers leur histoire, ils dévoilent leur cheminement et nous invitent à notre tour à nous laisser interroger par leur parcours.

Toutes et tous nous  traversons  des hauts  et  des bas sur les chemins de nos existences. Nous sommes différents sur bien des points, et nos opinions divergent, mais j’affirme pourtant que c’est précisément dans le respect de nos différences que nous saurons nous reconnaître. C’est dans cet environnement respectueux que nos liens deviennent visibles.

Le Tiramisù n’est pas qu’un gâteau, il est une invitation à nous élever, à nous libérer… Telle est la signification de ce vocable italien (tiramisù, « tire-moi vers le haut »). Avec la douceur de ses mots poétiques et gourmands, Maria Torrent  Catania nous élève aussi vers le haut : les sommets de la vie.

La vie était rythmée au gré des saisons. Ils prenaient les événements comme ils venaient. Sans chercher à modifier ou à tendre vers des améliorations permanentes. Mamie notait avec soin les météos quotidiennes dans son agenda. Elle y inscrivait aussi les dates prévues des vêlages à venir. L’observation était rigoureuse et juste. C’était son « sens clinique ». La vie là-bas, c’était l’arche de Noé…

Et si je reprend aujourd’hui l’écriture, c’est pour aider à ma convalescence bien sûr, mais aussi pour livrer un témoignage précis de chaque instant vécu, sans pour autant avoir une quelconque certitude sur l’avenir. Analyser mes réflexions, imaginer différentes pistes, en éliminer certaines autres pour en explorer de nouvelles, avec un objectif : ne surtout pas laisser la part belle à la tristesse, dans cette vie où je fais semblant, pour l’instant...

Martine écrit dans le silence, à l’écoute de ce qui vient. Elle rassemble, en petits recueils, des poèmes qui témoignent de sa vie intérieure, de sa foi chrétienne, dans les méandres de l’existence. Elle les voit comme des cadeaux du ciel à partager. La vie ordinaire, les relations, la nature sont ses sources  d’inspiration.  Des  petites fées naissent de ses mains, messagères de discrètes intuitions murmurées à l’oreille. Allons joyeusement, de naissance en naissance !